Bouche de crocodile : baisers de ma solitude

Non Bouche de crocodile ne correspond pas à une sortie dans un parc zoologique mais à un groupe de slam-jazz nantais. Ils sont 5 et ils signent aujourd’hui leur premier album, Baisers de ma solitude.

Bouche-de-Crocodile-Thomas-LANGOUET

La bouche, pour croquer, pour mordre, pour chanter, pour parler, mais aussi pour symboliser la liberté d’expression. L’auteur des textes de Bouche de crocodile, Nina Kibuanda, n’a pas la langue entre ses crocs; slameur depuis plusieurs années, sa rencontre avec plusieurs musiciens a fondé la création du groupe.

De résidences en concerts, le groupe a forgé sa formule slam-jazz. Les textes poétiques en premier. Un univers sensible, qui joue avec les mots et les sonorités comme les variations autour de « je t’aime / j’écris » sur « Premier baiser ». Car le groupe ne compose pas des titres mais des baisers, numérotés de 1 à 5 et entourés d’un prologue et d’un épilogue. Pour accompagner les textes, du jazz. Tapis velours de la contrebasse, accords aux claviers, rythmique de la batterie, une large place est faite aux instruments en contrepoint des voix. Bouche de crocodile est lancé, attention à la morsure verbale.

Le site de Bouche de crocodile

Bouche de crocodile – Baisers de ma solitude – Un premier album de 7 titres sorti le 1er novembre 2016 – Avec : Nina Kibuanda : Slam – Marguerite Lorenzi : Chant – Steven Goron : Batterie – Ronan Prual : Basse/Contrebasse – Rémy Fanchin : Claviers.

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