Cela fait plusieurs années que La Petite Paillette (alias Hélène Frémond) travaille sur divers sujets photographiques. Elle présente actuellement tous les samedis à l’atelier Bonjoure un extrait d’une série « psychophotographique » toujours en cours de construction. « Un matin comme les...
Schtilibem 41 : Vîrus et les 100 pas (perdus)
Schtilibem signifie prison en argot; 41, c’est pour l’année. Schtilibem 41 est un texte méconnu de Georges Arnaud dont s’est emparé le rappeur Vîrus (qui va finir par devenir spécialiste argotique*) sur la scène de la maison de la poésie de Paris. Georges Arnaud est plus connu comme l’auteur du Salaire de la peur, publié en...
Batterie étendue : zbim bam boum
Malgré la fermeture aux visites, le Bon Accueil, les Ateliers du Vent et le Jeu de Paume ont maintenu l’exposition Batterie étendue. Des installations visuelles et sonores qui ne jouent pas avec l’isolation des éléments mais bien leur cumul, jusqu’au 28 février. Tout est parti d’une batterie incongrue signée Yves Chaudouët,...
Le Burkina Faso dans le métro : un reportage de Julien Ermine
Alors que les lieux de transit comme les gares poursuivent leurs efforts d’expositions, la photographie continue de se décliner dans le métro rennais. Ce mois-ci, c’est le travail de Julien Ermine sur le Burkina Faso qui est à l’honneur dans 3 stations jusqu’au 11 février. Et ce n’est pas pour le dépaysement du voyage ; en...
Éditeurs sauvages et salon à plumes
Dans les souterrains littéraires et graphiques rennais, ça grouille de bestioles. Parmi elles, les éditions Animal Debout qui organisent un lâcher d’éditions (sauvages donc) les 30 & 31 janvier prochains. Merci de vous munir d’un filet à papillons. Les événements restent toujours incertains mais (touchons une patte de lapin) nous y...
Fac@fac : la danse malgré tout
Alors que les lieux culturels restent désespérément fermés, l’association étudiante « En toute complicité » tente de poursuivre sa passion pour la danse malgré le contexte actuel. Une édition numérique du festival Fac@fac est programmée jusqu’en avril. Cela pourrait paraître incongru au vu de la détresse étudiante...