Sorry we missed you, de Ken Loach : une Angleterre en PLS. Bosseur, tatoué, Ricky Turner (Kris Hitchen) vit avec Abby (Debbie Honeywood), bosseuse, dévouée. Ricky a fait plein de petits boulots manuel...
Chambre 212 de Christophe Honoré : une comédie sentimentale pleine de petites surprises et de coups de canif dans le contrat. Prodigieusement romantique – il neige sur Paris* –, Chambre 212** du Finis...
Au nom de la terre d’Édouard Bergeon : la descente aux enfers d’une caste, celle des paysans, censés pourtant être celle des fiers défenseurs de la terre, mais qui se font happer par les engrena...
Alice et le maire, de Nicolas Pariser : le classicisme du cinéma à la française dans ce qu’il a de meilleur et de plus pertinent. Alice et le maire entre dans la catégorie très sélect des films...
La fameuse invasion des ours en Sicile, de Lorenzo Mattotti : un conte pas bête qui donne le beau rôle aux animaux. Le roi Léonce et son bras-droit Salpêtre (qui rime avec « Sale traître » sans vouloi...
Joker de Todd Phillips : un rôle de clown rédempteur de haute volée pour Joaquin Phoenix. Dans une ville de Gotham en proie à une grève des éboueurs interminable et à des inégalités qui ravagent la co...
Deux moi : une comédie de Cédric Klapisch sur l’ultramoderne solitude parisienne d’aujourd’hui. Rémy (François Civil) face au peu loquace mais néanmoins très efficace Dr J.B. Meyer (...
Tu mérites un amour de Hafzia Herzi : une comédie sous le signe de Frida Kahlo (1907-1954) à qui l’on doit le titre de cette romance qui est aussi celui d’une poésie célèbre. « Tu mérites un amour déc...
Port Authority : un film new-yorkais, co-produit par Martin Scorcese, sur le droit au logement bafoué et sur les fiertés identitaires (qu’elles soient sexuelles tendance fluides, ou machistes tendance...
Les Hirondelles de Kaboul : un film d’animation de Zabou Breitman et Eléa Gobbé-Nevellec sur la vie et la mort, lorsque règne un régime hautement liberticide. Depuis l’arrivée des talibans, Zune...
La vie scolaire : une comédie sociale de Grand Corps Malade et Medhi Idir sur le petit monde (en crise, « mais pas trop », pour reprendre l’euphémisme journalistique inconséquent à la mode) de l’Éduca...
Ceux qui travaillent d’Antoine Russbach : un film qui met dans la balance le confort des nantis (acquis dans la souffrance à force de travail et d’abnégation) et l’inconfort de pauvres hères, loin d’ê...


















