Ma Loute, de Bruno Dumont : une plongée socio-ethnologique au vitriol dans le Nord de 1910. Il y a du grotesque. Il y a de la farce. Il y a des couinements. Il y a de l’outrance, du théâtral. I...
Aller voir le dernier Woody (allons-y gaiement, appelons-le par son prénom, après toutes ces années, tonton Woody ne fait-il pas quasi partie de la famille) est un des rituels annuels du cinéphile moy...
L’Avenir, un film de Mia Hansen-Løve, avec Isabelle Huppert où l’on parle de Rousseau, de Pascal, de Schopenhauer, de phalanstère révolutionnaire dans le Vercors, de divorce et de fin de vie douloureu...
Tout pour être heureux, de Cyril Gelblat : une comédie française sur la difficulté d’être heureux, d’associer les déconvenues avec le besoin de joie. Il y a de l’eau dans le gaz ent...
Rosalie Blum, de Julien Rappeneau : une comédie sur la mémoire et le crabe en boîte. Dans la vie de Rosalie l’épicière de quartier règne aussi un joyeux bazar…. Avant d’être transpo...
A bigger splash de Luca Guadagnino : un thriller sur fond de ciel bleu, de bain de boue, de criques et de croquants. Sublimes Romy Schneider et Alain Delon, dans la version de Jacques Deray. A bigger ...
Vendeur, un drame français réussi de Sylvain Desclous, autour du petit théâtre de la vente, sur le prix des cuisines et celui de la famille qui, justement, n’en a pas, de prix. Gérald (P...
Suite armoricaine : un film de Pascale Breton avec Rennes comme personnage principal. La province dans ce qu’elle a de plus mystérieux. De plus attachant. De plus profond et de plus moderne. Fr...
Merci patron ! de François Ruffin : la lutte des classes comme on l’aime, drôle et fine à la fois. La France est en crise, et c’est plus particulièrement bien sûr les franges les pl...
Belgica, de Felix Van Groeningen : un film belge qui a la frite ! Belgica, c’est l’histoire d’un troquet éponyme, à Gand, qui ne dépareillerait pas dans un prochain volume de ...
The Revenant, d’Alejandro González Iñárritu : des chouettes scènes qui prennent aux tripes avec une happy-end téléphonée presque dommage… Des trappeurs, au début du XIXᵉ, dans une r...
Anomalisa : entre cauchemar de l’inéluctabilité d’une vie sans vie, humour pince-sans-rire et poésie étincelante. Un film. Surtout un film, avant d’être un film d’animation. Et...












