Les hygialogues de Ty Petersen, de Saul Pandelakis : où il s’agira de faire plus ample connaissance avec les sunđuz. « Ils étaient arrivés presque sans crier gare (…) l’objet volant...
Libres d’obéir – Le management du nazisme à aujourd’hui, de Johann Chapoutot : un essai stimulant sur les fabriques perverses du consentement. En retraçant le parcours du juriste al...
La sage-femme d’Auschwitz, d’Anna Stuart : la Shoah perçue à hauteur d’utérus. « Trop éprouvée, elle ne savait plus très bien si Dieu veillait encore sur eux à Birkenau ; elle avait ...
Les ruines volontaires, d’Alexis Fichet : un petit livre pour un grand projet, qui serait, si on extrapole un peu, de rendre la planète habitable en échappant à la pensée hégémonique productivis...
Nouvelles du front, de Marine Tondelier : journal de bord d’une militante chevronnée. « Le 14 juillet 2014, Steeve Briois a une pelle dans les mains et plante lui-même, avec ferveur, l&rs...
The Substance, un film d’épouvante de Coralie Fargeat censé interroger sur les impasses de la jeunesse éternelle. Elisabeth Sparkle (Demi Moore), une femme qui connut le succès, jadis, au cinéma...
The Apprentice, d’Ali Abbasi : un portrait peu flatteur parfaitement réussi, voire vertigineux, du 47ᵉ président des USA au moment où celui-ci perce dans le monde des affaires et de l’immo...
Nous étions des géants – L’incroyable survie d’une famille juive de Lilliputiens, de Yehuda Koren et Eilat Negev : l’épopée d’une troupe d’artistes de petite taille qui v...
La ville-sans-nom – Marseille dans la bouche de ceux qui l’assassinent, par Bruno Le Dantec : un ouvrage passionnant sur la guerre faite aux pauvres. « [les juifs ainsi que] les repris de justic...
Barge par HK : un récit sur la folie, ses affres et ses joies. « Je n’arrive pas à savoir si c’est game over ou palier 2 du jeu. C’est mon père qui débarque, il est tendu, je ...
Marie Vareille, Le syndrome du spaghetti : une histoire de basketteuse contrariée et de gènes contrariants. Voilà un joli roman, centré sur cette période propice aux interrogations et aux passi...
La chair est triste hélas, d’Ovidie : une déclaration d’amour enflammée, pleine de colère et de justesse, vis-à-vis d’une liberté retrouvée, chèrement conquise. « Quelle honte...