Le dernier concert du festival Les Embellies était principalement consacré aux voix féminines ; en solo pour Lidwine, en quatuor pour le groupe d’Emily Jane Wite. Dimanche 30 mars sur l’heure du thé, l’Ubu a écouté quelques songwriting.
 C’est seule que Lidwine, chanteuse et compositrice, mène sa barque musicale. À la harpe, avec des samples ou encore accompagnée à l’harmonium, Lidwine déroule un univers presque trip-hop, une voix qui s’élève pour reprendre « Feelin’ Good », et de nombreux titres de ses Ep. Souriante dans son kimono, avec des ambiances électroniques qui lorgnent vers Björk, Lidwine a assuré la première partie idéale pour un dimanche après-midi.
C’est seule que Lidwine, chanteuse et compositrice, mène sa barque musicale. À la harpe, avec des samples ou encore accompagnée à l’harmonium, Lidwine déroule un univers presque trip-hop, une voix qui s’élève pour reprendre « Feelin’ Good », et de nombreux titres de ses Ep. Souriante dans son kimono, avec des ambiances électroniques qui lorgnent vers Björk, Lidwine a assuré la première partie idéale pour un dimanche après-midi.
 Chez Emily Jane White, c’est autre chose. Un univers plus sombre, plus écorché, avec des ambiances sonores tantôt épurées tantôt saturées, et travaillé dans sa scénographie : une vidéo projetée en fond de scène, et la chanteuse du groupe montée sur une estrade, enveloppée dans une toge rouge. Alternant sa place avec la pianiste, soutenue au violoncelle et à la batterie, Emily Jane White défend son dernier album Blood Lines paru fin 2013. Un set qui a réussi à convaincre l’auditoire… opérant ainsi deux rappels. Une belle clôture pour les Embellies, place au printemps… et rendez-vous l’an prochain !
Chez Emily Jane White, c’est autre chose. Un univers plus sombre, plus écorché, avec des ambiances sonores tantôt épurées tantôt saturées, et travaillé dans sa scénographie : une vidéo projetée en fond de scène, et la chanteuse du groupe montée sur une estrade, enveloppée dans une toge rouge. Alternant sa place avec la pianiste, soutenue au violoncelle et à la batterie, Emily Jane White défend son dernier album Blood Lines paru fin 2013. Un set qui a réussi à convaincre l’auditoire… opérant ainsi deux rappels. Une belle clôture pour les Embellies, place au printemps… et rendez-vous l’an prochain !







