
La chair est triste hélas, d’Ovidie : une déclaration d’amour enflammée, pleine de colère et de justesse, vis-à-vis d’une liberté retrouvée, chèrement conquise. « Quelle honte d’arrêter de baiser quand on est encore baisable ! C’est certainement le pire des affronts. Si le sexe ne me manque pas, ma...