Cette année encore, l’œil d’Oodaaq attire celui des passants vers des lieux inhabituels, recoins discrets de l’espace urbain habités le temps du festival par les travaux d’une douzaine d’artistes internationaux.
Ces derniers déploient une belle diversité de regards sur la nature et l’urbanité, à travers les outils vidéo et numériques qui viennent distordre le réel, modifier la perception, et bien souvent deviennent vecteurs de réflexion. Montages hybrides et expérimentations filmiques sont à découvrir à la Maison des Associations, à LISAA ainsi qu’à la galerie Le Grand Angle, où est proposé « Déjà là, plus ici ». Des expositions à découvrir jusqu’au 26 mai.