C’est une biennale qui s’est lancée en 2016 : voilà la deuxième édition de Spéléographies. Un temps fort sur les écritures, leurs pratiques et leur transmission. Des rendez-vous à retrouver jusqu’au 17 juin.
10 expositions, 12 auteur·e·s en résidence invités à intervenir et 15 rendez-vous variés qui vont du concert à la lecture en passant par des rencontres : Spéléographies investira différents lieux pour réfléchir, présenter, analyser le circuit des écritures, de leur création à leur présentation au public.
Du côté des œuvres à scruter, Lendroit éditions présente depuis le 26 avril Barrages du duo Icinori, tandis que la bibliothèque du Triangle accueille Nos pires rêves, nos plus beaux cauchemars : un projet scolaire mené sur deux ans avec une classe du Blosne par Sébastien Lumineau et Jacques Mahé, qui présenteront d’ailleurs dans le même lieu le 28 mai à 18h la « chaîne du livre et courroies de transmission », ou comment fabriquer un livre d’images. En résidence aux Ateliers du Vent (lire notre rencontre), Nawel Louerrad présentera L’Apocalypse de Saint-Jean à l’Orangerie du Thabor.
Les Ateliers du Vent, qui accueille l’association porteuse de l’événement, accueillera donc naturellement la majorité des événements, qu’il s’agisse d’une installation numérique à déguster en nocturne (Interlignes, les 7 & 8 juin dès 22h30) ou d’une lecture musicale avec Brigitte Giraud et Bastien Lallemand (Un loup pour l’homme le 7 juin à 20h30). Une fin de festival et une sortie de résidence qui se terminera le dimanche 18 juin à partir de midi, dans une ambiance conviviale. Écrire sur les nappes sera-t-il autorisé ?
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