Cette année à Mythos, il sera question de désir, de plaisir, d’amour, de sueur parmi les mots. Nous vous conseillons donc de sortir couverts pour cette nouvelle édition qui aurait dû avoir lieu en 1969. Rendez-vous pris du 31 mars au 9 avril pour #tropdeplaisirs.

 

 

Et de 21. Après une édition anniversaire l’an dernier, le festival Mythos revient en crypté pour des programmes qui veulent ramener la jouissance plutôt que la peur au centre des préoccupations. Cela dit, l’édition reste ouverte aux – de 18 ans et sera visible en clair très rapidement. En avril, pourtant il parait qu’il ne faut pas se découvrir d’un fil…

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■ De l’amouuuuur

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Vous avez des palpitations ? Filez voir Clarika et son concert De quoi faire battre mon cœur (le 4 avril au Pôle Sud).

Vous ne savez pas draguer ? Rendez-vous avec Jérôme Rouger pour Plaire, abécédaire de la séduction à La Paillette les 6 & 7 avril.

Vous êtes nostalgique ? Prenez les récits d’Adèle Zouane et trinquez À vos amours le dimanche 2 ou avec les Garçons Manqués (jeudi 6 avril) au Cabaret Botanique.

Vous avez besoin d’espoir ? You’re gonna get love en compagnie de Keren Ann les 6 & 7 avril  à l’Aire Libre.

Vous avez plus de 18 ans et vous avez tout simplement envie de tirer un coup ? Pierre Guillois et Nicolas Ducloux vous reçoivent dans leur Opéraporno (La Parcheminerie les 6 & 7 avril) (réellement pour adultes).

 

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■ De la fête

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Pas de désir sans joie, pas de joie sans musique, bref, Mythos continue de mettre les mots chantés à l’honneur. Et joyeusement s’il vous plait.

Pour rester Vent debout avec Tryo (le 4 avril) qui joueront juste après Albin de la Simone au Thabor, suivre les carrières qui décollent comme Cléa Vincent et Vianney (mercredi 5 au Cabaret) ou carrément donner Un coup de queue de vache avec Thomas Fersen pour balayer l’ennui du dimanche 9 avril.

Mais il vous en faut plus, toujours plus (votre appétit est insatiable). Alors vous pourrez joyeusement sauter sur la prestation de Puppettmastaz, dont le concert sera prolongé tard dans la nuit avec Naïve new beaters. Le 1er avril au Cabaret Botanique, et ce n’est bien sûr pas un poisson même s’il sera sûrement très amusant de s’en accrocher dans le dos.

 

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■ De la politique même si c’est pas très érotique

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Si le programme annuel semble peu alléchant, nous vous conseillons sur plusieurs programmes :

• We love arabs, ou comment un chorégraphe israélien choisit un danseur arabe. La Paillette les 8 & 9 avril.

• Les courriers d’André Gorz à travers le spectacle Doreen de David Geselson (TNB, 5 & 6 avril)

• Accompagner un réfugié syrien Sous le pont les 7 & 8 avril au Vieux Saint-Étienne

• Plonger dans la tuerie d’un adolescent avec Le 20 novembre mis en scène par Lena Paugam et partant d’un fait réel qu’on se demande même si l’actualité ne le fait pas exprès ces jours-ci (La Paillette 5 & 6 avril)

Les abstentionnistes seront cependant pris en compte à la billetterie.

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■ Du rock, du jazz et des ovnis pour digérer le chapitre précédent

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En début de festival, rendez-vous avec le pianiste Michel Legrand (Cabaret, lundi 3 avril). Pour une soirée 100% rock & blues, ce sera le jeudi 6 avril avec Timber Timbre et The Legendary Tigerman.

Nous ne saurons bien  sûr que trop vous conseiller le concert-lecture-spectacle-tempête-orage-oh-des-poires de Fantazio qui aura lieu avant la lecture poétique signée Pj Harvey le vendredi 7; mais aussi La Vie provisoire avec François Morel, les Rennais Matzik, le rap de Gaël Faye, le nouveau projet de 20Syl sous le nom de AllttA, Nosfell en solo avant Bachar Mar-Khalifé et Rodolphe Burger qui n’a rien à voir avec la la cuisine des Toqués qui font que la programmation devient floue – signal crypté – grbezeazfibdvb – on n’a pas parlé de – sbrrrrmbbb – de tout – gregrzzzzzz – trop de – hhhhmmmm – plaisirs en vue— rendez vous–scriiitch-du 31 mars au 9 avril.

Et aussi sur le site du festival