Vendredi midi 12 avril à la Parcheminerie : Vîrus envoyait du lourd sur les planches comme on dit dans le jargon. Première représentation de son nouveau spectacle intitulé 66. (le point est important alors la parenthèse est après, enfin entre deux points désormais).
Depuis plusieurs années maintenant, le rappeur Vîrus mêle sa verve à celles de différents auteurs : Les Soliloques du pauvre de Jehan Rictus, Schtilibem 41 de Georges Arnaud, et le voilà piochant un sonnet de Shakespeare pour construire un seul en scène intitulé 66.. Au menu, certains de ces titres croisant différentes plumes comme celles d’Antonin Artaud ou encore le poète mineur Arthur Chardon. Rencontre avec Vîrus (attention au circonflexe, à 51 % au minimum).